Depuis 2012, l'École des hautes études en sciences sociales a renforcé sa présence sur les réseaux sociaux. Créée en mai 2012, la page Facebook est suivie désormais par plus de 5150 abonnés, le compte Twitter dénombre plus de 5050 followers. Plus récemment, l'École a lancé sa page Université sur LinkedIn, suivie par plus de 3700 abonnés.

Valorisation de la recherche, promotion des événements organisés par l'École et ses partenaires, partage des actualités scientifiques, présence des chercheurs dans les médias... ces outils font la preuve quotidiennement de la vitalité de notre institution. Ils permettent à la fois de promouvoir l'EHESS auprès du grand public, mais surtout de renforcer les réseaux d'étudiants et de chercheurs en sciences humaines et sociales.

L'EHESS sur les réseaux sociaux

• École des hautes études en sciences sociales (EHESS) > Facebook - Twitter - LinkedIn
• Éditions de l'EHESS > Facebook - Twitter
• La revue Annales. Histoire, sciences sociales > Facebook
• Association des étudiants de l'EHESS > Facebook - Twitter
• EHESS alumni > Facebook
  

Les laboratoires

• Centre de recherches historiques (CRH) > Twitter
• Centre d'études interdisciplinaires des faits religieux (CEIFR) > Facebook - Twitter
• Centre de recherches sur les arts et le langage (CRAL) > Facebook
• Centre d'études turques, ottomanes, balkaniques et centrasiatiques (CETOBAC) > Twitter
• Chine Corée Japon > Twitter
• Centre de recherches sur la Corée (CRC) > Twitter
• Centre de recherches sur le Japon (CRJ) > Twitter
• Centre d’études sur la Chine moderne et contemporaine (CECMC) > Twitter
• Institut d'études de l'Islam et des sociétés du monde musulman (IISMM) > Facebook - Twitter
• Paris School of Economics (PSE) > Twitter - LinkedIn

Les centres hors division

• Centre pour l'édition électronique ouverte (CLEO) > Facebook - Twitter
• Direction de l'audiovisuel de l'EHESS > Twitter

Recherche et communication numérique en France. Un défi à relever

À lire absolument cet article signé par Sylvain Deville, chargé de recherche au CNRS, qui pointe les réticences du monde de la recherche français à se saisir des outils numériques.